Freitag, 17. Februar 2017

Décès E. Tshisekedi: MISHIKI DEVANT LE PGR CE MATIN

Prévision Futuroscopique: Nous y voilà!

Le Sphinx pouvait-il vivre, survivre... si le médecin opérant... 


"suite"




L’audience de confirmation des charges fixée au grand bonheur du plaignant, 
la NOGEC, qui en appelle à une mobilisation autour de son action
Le Procureur général de la République a ordonné, depuis hier 16 février, l’ouverture de l’enquête sur le décès d’Etienne Tshisekedi intervenu au début du mois en cours. Il s’agit d’une première audience de la confirmation de la plainte. Cette audience intervient aujourd’hui vendredi 17 février, sauf changement de dernière minute, à l’Inspection de la police judiciaire des Parquets, plus connue sous l’appellation de Casier judiciaire, le service qu’elle abrite.
C’est le plaignant, la Nouvelle génération pour l’émergence du Congo (NOGEC), qui a annoncé cette séance à tous ses partenaires de divers mouvements citoyens qu’il mobilise autour de son action au nom de la vérité. Une autre source fait allusion à l’audience au cabinet du PGR.
Willy Mishiki Buruhini, vice-ministre en charge des hydrocarbures, est donc attendu  en personne à cette audience. Il est reproché à ce membre du gouvernement Badibanga d’avoir tenu des propos sur le non-retour d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba.
Ce, 4 jours avant le décès de ce dernier, président du Conseil national de suivi de l’Accord, de l’UDPS et du Conseil des sages du Rassemblement des Forces politiques et sociales acquises au changement. En date du 28 janvier, Willy Mishiki a rassuré les journalistes du Magazine « Equipe nationale » que le Lider maximo n’allait pas rentrer en pariant très fort jusqu’à donner sa main à couper si jamais il arrivait d’être contredit.
Me Constant Mutamba de la NOGEC a ainsi introduit une plainte contre l’auteur de ces déclarations ressassées sur plusieurs chaines de TV avant la mort du Sphinx de Limete dans des circonstances non encore élucidées. La cause de l’embolie pulmonaire associée au décès de l’illustre disparu n’ayant pas convaincu la famille et l’UDPS, plusieurs observateurs avertis relancent une série de questions autour de cette disparition.
Et depuis hier, une autre thèse avancée, celle d’une probable erreur médicale, vient en rajouter à cette confusion autour du  décès d’Etienne Tshisekedi. Inadmissible, pour ce camp, l’admission d’une anesthésie totale pour une intervention à la jambe auprès d’un patient de 84 ans, diabétique et hypotendu.
Face à toutes incohérences, Me Mutamba réclame la vérité autour du décès d’Etienne Tshisekedi. Le vice-ministre des Hydrocarbures qui l’a prédit, peut être une piste de manière à édifier davantage sur cette situation malheureuse.
Le plaignant remercie le PGR qui s’est rapidement activé pour ordonner l’enquête. Car lui-même et les autres acteurs pro-démocratie souhaitent en avoir le cœur net sur cette mort brusque.
Par KerK

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