Mittwoch, 17. August 2016

RDC: LE DIALOGUE DE LA PROLONGATION "Futuroscopie"

-RDC: Dialogue: Au menu:"Prolongation de mandat! 

N'est-ce pas le là le Sujet qui "Fustige et Divise" tout en débouchant sur un "Non Recevoir" ou un "Nulle et Non Avenue", des ingrédients pour l'étincelle qui mettra le feu au poudre des révoltes successives qui asphyxieront le quotidien avec des journées mortes à travers toute la République. Cette vision futuroscopique et le film probable d'une réalité due à l'actuel "Constipation démocratique"  démocratique dont le maître mot est: 

-"Prolongation inévitable" avec avec un avant goût amer déjà bénis par une instance Judiciaire en forcing après tentatives de Tripatouillage Constitutionnel échoués.

 -"Gagner du temps" en retardant la réalisation des "élections morts nés" quelque soit un "trompe l'œil" d'un début d'élections fictive de Gbadolite.

                                                         
-Stratégie de distraction Criminelle Bénis:  sanctuaire de la mort, martyrisé pour expliquer une menace qui serait la conséquence du départ de l'actuel gouvernement aux abois. cette fallacieuse manœuvre de troubles avec sacrifices humaines risque d'avoir l'effet boomerang imprévisible contrairement aux faux calcules de mauvais prophètes; en effet, aucun trouble organisé sera à même d'arrêter le vœux ardent d'un peuple à l'éjection complète de l'actuel gouvernement qui a du reste,  gagné une impopularité criarde qui crève le plafond et depuis, qui a atteint son paroxysme.


k.ilus


Lu pour vous

Washington soupçonne Joseph Kabila de manœuvrer pour rester chef de l’Etat et redoute des violences en République démocratique du Congo si le président décide de briguer un troisième mandat.

Cela fait des mois que les Etats-Unis surveillent comme le lait sur le feu la RDC, où le climat politique se tend à l’approche du 20 décembre, date du terme du second mandat du président Kabila, auquel la Constitution interdit de se représenter.
Le fils de Laurent-Désiré Kabila, qui a succédé à son père assassiné en 2001 avant d’être élu en 2006 et en 2011, est soupçonné par son opposition et des pays occidentaux de vouloir se représenter, quitte à chercher à repousser la présidentielle.

« Glissement »

En mai, la Cour constitutionnelle a autorisé Joseph Kabila à demeurer à son poste si l’élection n’était pas organisée dans les temps. Un scénario de « glissement » qui semble de plus en plus probable. La Constitution dispose que « le scrutin est convoqué 90 jours avant l’expiration du mandat du président », soit le 19 septembre.
Si bien que « le Congo est à un mois d’une crise constitutionnelle complète », s’est ainsi alarmé Anthony Gambino, ancien directeur à Kinshasa de l’USAID, l’agence humanitaire du département d’Etat américain.
« Plus on se rapproche de ces dates butoirs, moins les bons scénarios sont plausibles et plus les mauvais sont probables », a renchéri Thomas Perriello, émissaire du département d’Etat pour l’Afrique des Grands lacs.
Les deux hommes participaient cette semaine à une conférence de l’institut Brookings sur la RDC, au côté de son ambassadeur à Washington, François Nkuna Balumuene.
« Si nous ne trouvons pas de solution négociée, ces scénarios extrêmement préoccupants pourraient se traduire par de la violence », a prévenu M. Perriello.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/08/17/rdc-les-etats-unis-redoutent-les-ambitions-du-president-kabila_4983905_3212.html#STPAoqoZvdyPGuXo.99


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