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Voici ce que nous avons appris.
Décembre 26, 2015In 2015, le Washington Post a enquêté sur les détails entourant ceux qui sont morts de tirs de la police. Voici six revirements importants de 12 mois de l'enquête.
Par Kimberly Kindy et Kennedy Elliott
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La maladie mentale a joué un rôle dans un quart des incidents.
Ils soulignent la nécessité d'améliorer la formation des policiers. L'analyse post a révélé que plus de la moitié de ces homicides impliqué les services de police qui n'a pas fourni aux agents ayant une formation state-of-the-art de désamorcer de telles rencontres.
"Cette crise nationale», a déclaré Chuck Wexler, directeur exécutif de la Police Executive Research Forum, un think tank basé à Washington. "Nous devons faire la police américaine à repenser la façon dont ils traitent les rencontres avec les malades mentaux."
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Un quart des tirs mortels impliqué un suspect en fuite.
Les chefs de police et des spécialistes de la formation desdites règles plus restrictives sur le moment de donner la chasse pourrait réduire ces décès.
Par exemple, de nombreux ministères découragent officiers de poursuivre un suspect seul, à pied, en particulier dans les zones sombres ou mal éclairés, sauf si la personne présente une menace immédiate. Éviter les activités inutiles pourraient aussi éviter d'injecter de l'adrénaline et de la colère dans la rencontre, les experts de la police a déclaré.
Police "sont utilisés pour donner des ordres et des personnes obéissant", a déclaré Philip M. Stinson, professeur à l'Université Bowling Green State. "Ils ne l'aiment pas quand les gens ne les écoutent pas, et les choses peuvent rapidement devenir violente quand les gens ne suivent pas leurs ordres."
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Accusation de policiers ont triplé en 2015, par rapport aux années précédentes.
Bien que des accusations sont rarement déposées en tirs de la police mortels, actes d'accusation des policiers ont triplé en 2015, par rapport aux années précédentes.
Au cours de la dernière décennie, les autorités ont inculpé une moyenne de cinq officiers par an pour les tirs mortels, une analyse post trouvé. En 2015, 18 officiers ont été accusés, comparativement à 47 officiers entre 2005 et 2014.
La moitié des 2015 actes d'accusation découlait de fusillades qui ont eu lieu au cours de l'année, alors que la date reste aussi loin que 2011. Dans 10 des cas de 2015, les procureurs avaient un enregistrement vidéo de la fusillade, une forte augmentation par rapport aux années précédentes.
"Merci Dieu pour la technologie», a déclaré le révérend Ira Acree, pasteur à Bible Church St. John Grand à Chicago, où un officier a été accusé d'assassiner au premier degré en Novembre. "Peut-être qu'il est enfin nous aider à déchiffrer le code bleu du silence."
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Six pour cent des meurtres ont été capturés par les caméras de corps.
Caméras de corps policiers usés ont été défendu par les chefs de police et les politiciens comme essentiels à l'amélioration de la transparence. Le Post a révélé que 6 pour cent des meurtres ont été capturés par les caméras de corps.
Le Post a également constaté que la police et les responsables locaux refusent souvent de diffuser publiquement vidéo. Dans plus de la moitié des cas avec le corps-cam vidéo, les services de police ont diminué requêtes POST pour des copies de la vidéo.
À Burlington, Iowa, maire Shane McCampbell a exhorté la police à libérer le corps-cam vidéo d'une fusillade qui a tué accidentellement Janvier une mère de deux locale. Si les vidéos "vont être un secret, personne est tenu responsable", a déclaré McCampbell. "Et ce fut le point."
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Dans les trois quarts des tirs mortels, la police étaient attaqués ou défendre quelqu'un qui était.
Les officiers ont souvent été salués comme des héros.
Le Post a révélé que 28 pour cent de ceux qui sont morts ont été tiré sur les agents ou quelqu'un d'autre. Seize pour cent attaquaient avec d'autres armes ou la force physique, et 31 pour cent ont été de pointer une arme.
"Vous devez prendre des décisions ou de mort de la vie", a déclaré Mary Jane Norman, qui attribue la police d'Indianapolis avec lui sauver la vie en Février quand ils ont tiré et tué son fils malade mental, Kent, alors qu'il tenait un couteau de boucher à la gorge. «L'un moment de silence pourrait causer la mort d'une victime innocente ou eux-mêmes."
One in ten people shot and killed by police were unarmed.
Fatal shootings of unarmed civilians sparked much of the national debate over police use of deadly force.
The Post found that 9 percent of shootings involved an unarmed victim. The unarmed victims were disproportionately black. In a Post analysis looking at population-adjusted rates, unarmed black men were six times as likely as unarmed whites to die from police gunfire.
Overall, more than half of those killed in 2015 had guns, 16 percent had knives and 5 percent attempted to hit officers with their vehicles. Three percent had toy weapons, typically replica guns that are indistinguishable from the real thing.
Une personne sur dix tué par balle par la police étaient armés.
Tirs mortels de civils non armés ont déclenché une grande partie du débat national sur l'utilisation de la police de la force meurtrière.
Le Post a révélé que 9 pour cent des fusillades impliqué une victime désarmée. Les victimes non armés ont été disproportionnée noir. Dans une analyse post regardant les taux de population ajustés, les hommes noirs non armés étaient six fois plus susceptibles que les Blancs non armés de mourir de tirs de la police.
Globalement, plus de la moitié des personnes tuées en 2015 avaient des fusils, 16 pour cent avaient des couteaux et 5 pour cent tenté de frapper les agents avec leurs véhicules. Trois pour cent avaient des armes jouets, typiquement répliques d'armes qui sont indissociables de la vraie chose.
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