FLASH…FLASH…
D’après des informations concordantes en provenance des sources diverses des chancelleries à Kinshasa, Paris, Bruxelles, Londres et Washington, Hyppolyte Kanambe, alias Joseph Kabila et ses parrains Museveni et Kagame, avaient si bien concocte ses plans pour déjouer la vigilance de la communauté internationale.
Un travail digne du film Moise contre Pharaon d’Egypte qui, pour terminer avec les plagues contre son empire, avait finalement laisse partir les Israelites pour se ressaisir et les poursuivre pour les faire revenir en esclavage en Egypte.
Venons-en aux faits.
Les pressions du rassemblement avec le peuple congolais n’étaient pas sans fruit. Elles avaient provoqué celles de la communauté internationale qui a déjà découvert la nouvelle force politique dans leurs pays respectifs, celle de la diaspora congolaise qui les a infiltres en résidant chez eux.
1. En date du 13 novembre 2016, deux réunions ont lieu à Kingakati. La première, réunissant les caciques rwandais tutsis de la Kabilie qui constituent le fer de lance de l’occupation du Congo : Joseph Kabila, Janet Kabila, Azarias Ruberwa, Nyragabo, Bisengimana…
2. L’objet de cette réunion est d’envisager la stratégie de se maintenir au Congo. Les menaces étant très fortes de la part de la communauté internationale, il faut jouer serre. Qui mettre comme notre candidat aux Présidentielles et qui placer à la tête du gouvernement après cet Accord du 18 Octobre 2016 au Camp Tshiatshi ?
3. Apres avis et considérations, Vital Kamerhe a été retenu pour son caractère bantu que malgré qu’il soit boude par les Congolais, il est parfois accepte et peut jouer la carte de la présidence. Moise Katumbi sur qui l’on avait mise en le faisant pour un faux opposant semble nous avoir tourné le dos en divulguant beaucoup de nos secrets notamment financiers. Si nous échouons de faire maintenir Kabila au pouvoir, Kamerhe serait la solution. Nous devrions lui assurer tout notre soutien pour qu’il nous représente. Ça c’est le Plan A.
4. Le Plan B est le Coup d’Etat de palais. Bisengimana ferait un coup d’Etat, paralyser la Police, l’Armée et toutes les institutions pour diriger sans institutions pendant une année et organiser les élections qui devront être gagnées par Kamerhe. Ce dernier assurerait la pérennité des tutsi au Congo.
5. Puisque Kamerhe sera préservé pour la présidence, qui mettre à la Primature ? Bizima Karaha a été juge trop rwandais aux yeux des Congolais qui ne l’accepteraient pas. Le choix est tombe sur Samy Badibanga. Ce dernier est d’abord Muluba et cela contenterait les Kasaiens et on donnera l’impression de fédérer le pouvoir avec d’autres Congolais. De deux, Samy Badibanga ayant été a Genval, pourra nous aider a fragiliser le Rassemblement et l’UDPS en embauchant certains éléments. On connaît déjà aujourd’hui certains qui sont partis de Rassemblement notamment Dr. Loseke qui est Vice-Ministre dans le gouvernement Badibanga. La dernière mission de Badibanga était d’organiser les élections avec bien entendu le but de faire passer Kamerhe.
6. La deuxième réunion se tient avec les negres de service pour le même but de cogiter ensemble sur la possibilité de trouver la stratégie commune comme élaborée au cours de la première réunion purement tutsi. Les Kimbuta, Boshab, Minaku, Kin Kiey Mulumba, Lambert Mende et consorts. Les participants à cette deuxième réunion ignorent qu’une première réunion a déjà eu lieu sans eux. Ils tombent dans le piège sans le savoir.
7. Boshab est proposé à la candidature aux présidentielles après le désistement de Minaku. Le Plan B avec Bisengimana revient sur la table comme à la première réunion. La réunion se termine sur cet accord entre conspirateurs contre la RDC.
8. Janet Kabila prend le procès-verbal et court vite chez son boy friend Kamerhe et lui expose tout. Elle lui dit de laisser la priorité a Kabila d’informer Badibanga qui est dit être malléable et influençable. En tout état de cause, Kamerhe est aux anges. Quelle aubaine de devenir Président de la République Démocratique du Congo !
9. Kabila appelle Kamerhe pour l’informer officiellement de la décision de Kingakati. Pendant ce temps, Badibanga entend l’appel de Kabila qui va lui annoncer la bonne nouvelle : qu’il sera le Chef du Gouvernement.
10. Juste après la nomination de Badibanga, Kabila reçoit un coup de fil de l’Ambassadeur britannique qui attire son attention sur la désapprobation éventuelle de la communauté internationale. Kabila tressaillit et envoie chercher les prélats à qui il avait déjà complique la tâche pour qu’ils reprennent par où ils s’étaient arrêtés. C’est le replacement des travaux du Centre Interdiocésain
11. Si la signature de l’Accord a été faite sous réserve par la Majorité en profitant de la résistance de la dame Bazaiba qui rentre dans le cadre de fragiliser le rassemblement et allies, c’est Kabila derrière tout cela y compris le refus de Badibanga de démissionner.
Conclusion
Les décors étant plantes, Kabila se frotte les mains. Cependant, la présence de Tshisekedi a la tête du Comité de Suivi et le Gouvernement entre les mains du Rassemblement ne sont pas pour rassurer le rais. Son refus de signer l’Accord est un piège à cons. Il peut renier cet accord et sous une vraie pression du peuple congolais, il passera au Plan B du Coup d’Etat par Bisengimana.
Raison pour laquelle la dislocation du Rassemblement rendrait un très bon service a Kabila contre le peuple congolais qui n’aura que ses yeux pour pleurer.
Nous sommes à la croisée des chemins. Ou les politiciens congolais feront preuve du véritable nationalisme ou du charlatanisme. C’est maintenant que le peuple congolais va connaître ses véritables politiciens qui pensent au peuple d’abord.
Les negres de service n’ont plus rien à gagner mais à préserver les acquis de leur conspiration contre leur propre pays. En réalité, ils sont tous justiciables et n’ont plus rien à voir avec la gestion du pays. Une forte pression de la part du peuple peut les faire fuir du pays à défaut de se faire arrêter.
Le gouvernement de transition ne devra pas être pléthorique pour satisfaire tout le monde. Tshombe avait mis sur oale gouvernement dit de Salut Public en 1964 avec 16 ministres et les choses avaient très bien marche. Pas de lourdeur administrative et cela a permis à la tête de la CONACO, de remporter haut la main la victoire législative et devait former le gouvernement. Kasa-Vubu sur conseil de Mobutu va saborder la victoire démocratique sur toute l’étendue de la République.
Les ennemis du peuple congolais qui l’occupent sont des égorgeurs. Ils n’ont pas d’état d’âme devant la vie humaine. Ils en ont une autre philosophie qui est contraire à la nôtre. Moindre erreur, ils l’exploiteront. Ils nous ont donne le doig, prenons le bras.
Kalombo Kabengu
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