JIMY HENDRIX : DOMPTEUR MÉTALLIQUE
Empoignade guitare
Est-ce une empoignade ou plutôt une profusion de caresses?
qui joue de la sorte à la guitare? Lui, Jimi Hendrix n'a pas du tout hésité à brosser sa langue sur des cordes vocales d'une guitare apprivoisée à l'extrême, une qui miaulait, qui hennissait, qui criait de joie ou peut être bien de mélancolie et pourquoi pas de douleur, le fou de la guitare ne l'a -t-.elle üpas léché, ne l'a -t-elle pas mordu? Ne lui a-t-il réclamé de continuer à chialer par derrière son dos en collier autour de son cou? L'incomparable guitariste était et demeure incontournable...que dis-je indétrônable sur son podium de roi, de génie de la guitare-orchestre. Les deux, l'homme et la guitare avaient des ébats d'une brutalité de grattage jamais vu chez un autre guitariste, ils avaient des empoignades complices le tout dans la douloureuse et mélodieuse d'un trémolo qui n'avait rien à avoir avec des règles pré-établies de la musique classique, ils, lui et sa guitare ont violé et détruits les limités du classique en créant, en fondant des alphabets nouveaux pour une musique des procédés, des assoiffés d'extase et hallucinogène prêts à s'envoler vers des firmaments sataniques très hauts perchés sur des planètes se trouvant aux confins des l'inimaginables galaxies...
Est-ce une empoignade ou plutôt une profusion de caresses?
qui joue de la sorte à la guitare? Lui, Jimi Hendrix n'a pas du tout hésité à brosser sa langue sur des cordes vocales d'une guitare apprivoisée à l'extrême, une qui miaulait, qui hennissait, qui criait de joie ou peut être bien de mélancolie et pourquoi pas de douleur, le fou de la guitare ne l'a -t-.elle üpas léché, ne l'a -t-elle pas mordu? Ne lui a-t-il réclamé de continuer à chialer par derrière son dos en collier autour de son cou? L'incomparable guitariste était et demeure incontournable...que dis-je indétrônable sur son podium de roi, de génie de la guitare-orchestre. Les deux, l'homme et la guitare avaient des ébats d'une brutalité de grattage jamais vu chez un autre guitariste, ils avaient des empoignades complices le tout dans la douloureuse et mélodieuse d'un trémolo qui n'avait rien à avoir avec des règles pré-établies de la musique classique, ils, lui et sa guitare ont violé et détruits les limités du classique en créant, en fondant des alphabets nouveaux pour une musique des procédés, des assoiffés d'extase et hallucinogène prêts à s'envoler vers des firmaments sataniques très hauts perchés sur des planètes se trouvant aux confins des l'inimaginables galaxies...
Véritable dompteur des cordes électriques, bien avant lui, nul gratteur n'a su faire parler, donner la parole, faire pleurer, chanter des cordes d'une guitare dont il exigeait le maximum, à fond la caisse...Personne avant lui n'a eu ce genre d'empoignades tel cet incomparable, irremplaçable virtuose. Personne d'autre n'a su, mieux que lui mâchouiller à belles dents des cordes de cuivres, les caresser malmenées au point d'en dégager des cris, des railleries et des pleurs, des sonorités d'outre monde... en duo avec des cordes, entonner des hymnes...affolant, musique endiablée faisant vibrer des corps possédés, électrocutés par des sonorités diaboliques se dégageant d'une guitare flagellée par un Jimmy en extase, produites par ces ébats de morsures des cordes adoucies par des coups de becs, à bouche ouverte, langue pendue mordant,léchant des cordes d'une guitare en lamentation pour des envoles hallucinantes à travers des fumées douceâtres...
kaisa ilus
Hey Joe, trahison et rupture...chanson fétiche à la fin de la quelle un spasme traversera son corps, l’envoûtera pour une empoignade furieuse d'assassinat de la guitare parlante, un combat au corps à corps avec la maudite guitare qu'il fracassera contre tout...tout autour dans l'émiettement des sons d'une guitare aux chocs douloureux rendus en échos, une torture injuste d'un Jimmy Hendrix contre sa guitare-concurrente qui risquait de lui arracher la vedette...démentielle...un carnage...démolition....émotion électrique, pathétique, fantastique, magique...
kaisa ilus
Hey Joe, trahison et rupture...chanson fétiche à la fin de la quelle un spasme traversera son corps, l’envoûtera pour une empoignade furieuse d'assassinat de la guitare parlante, un combat au corps à corps avec la maudite guitare qu'il fracassera contre tout...tout autour dans l'émiettement des sons d'une guitare aux chocs douloureux rendus en échos, une torture injuste d'un Jimmy Hendrix contre sa guitare-concurrente qui risquait de lui arracher la vedette...démentielle...un carnage...démolition....émotion électrique, pathétique, fantastique, magique...
Guitariste, chanteur, compositeur des musiques fantasmagoriques et complexes dont les adeptes s'abreuvent à gorge déployé. Des chansons au dialogue...non...ce ne sont pourtant pas des dialogues mais peut être bien des conversations dites avec sa guitare...des disputes....des discutions interminables ...des engueulades difficiles à imiter lesquelles se transforment... en trémolo, en marche métallique sur fond de miaulement d'une grattage des cordes en hennissement, en railleries avec marche de drum en tambour de majorette, en ondulé roulements en carnage, une mitraillade de tambours, des sonorités de fûts, de bidons d'huiles à moitié remplis à ras le bord, sur une chute, un éboulement, une érosion, une pluie une pétarade continue, tambours battants, d'assiettes, reprise en cœur et récupération-raccompagnement des guitares, deux comme cinquante montées en courant en haute tension de basses sourdes...
Hey Joe Jimi Hendrix
Keine Kommentare:
Kommentar veröffentlichen