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Kongo Na Biso
L'INTEGRATION.
Quelques mois avant l’indépendance du Kongo, trois Kongolais résidant en Belgique livrent un témoignage révélateur du désir et de la volonté de tout un peuple : donner à ses enfants une formation professionnelle et intellectuelle pour qu'ils soient traités sur le meme pied d’égalité avec les Européens. A travers leurs propos, le séminaire se dessine comme un point de passage obligé, dans l'itinéraire scolaire, pour accéder aux études supérieures. Interviews du Mawani de la tribu des Bayeke dans le territoire de Jadotville, d’un journaliste et d’un universitaire
Quelques mois avant l’indépendance du Kongo, trois Kongolais résidant en Belgique livrent un témoignage révélateur du désir et de la volonté de tout un peuple : donner à ses enfants une formation professionnelle et intellectuelle pour qu'ils soient traités sur le meme pied d’égalité avec les Européens. A travers leurs propos, le séminaire se dessine comme un point de passage obligé, dans l'itinéraire scolaire, pour accéder aux études supérieures. Interviews du Mawani de la tribu des Bayeke dans le territoire de Jadotville, d’un journaliste et d’un universitaire
L'intelligentsia Congolaise sous la colonisation...
Kaisa Ilunga
Un document d'une valeur inestimable qui nous permet de jeter un regard au rétroviseur d'une époque de transition ou l’intelligentsia congolaise s'est décarcassé la cervelle pour passer à travers les mailles des filets qui étaient un frein hermétique à l'élan des bantous vers des hautes études. Le soucis de l'intelligentsia congolaise à investir dans sa progéniture pour l'acquisition d'un bagage intellectuel qui placerait cette jeunesse congolais au même niveau si pas au niveau supérieur avec son colonisateur.
Il se dégage un élan, une soif de formation personnelle mais aussi et surtout de pérennité à combler les trous d’absences sur des bancs universitaires tout en inondant les écoles dans le soucis d'assurer non seulement à la tribu, le plus grand nombre d'intellectuels, non seulement de rattraper les kasaiens. La sincère déclaration à ce propos est un signe d'une course, d'un marathon constructif d'exemple à suivre...vu sous cet angle, le grand bénéficiaire est toujours la mère patrie.
Ici, il s'est agit d'une précoce prie de conscience d'une poignée de congolais en avance avec le temps et les aiguilles d'horloges de l’obscurantisme dans lequel toute la République était noyée en marche arrière et s'il le fallait, en arrêt-tic-tac stratégique..,
En effet le colonisateur belge en avait verrouillé les portes et issus afin de retarder tout éveil d'indépendance et d'ouverture cervicale. Ainsi donc, les personnalités que venons de suivre sont les quelques rares et 1ers fonceurs...que dis-je, défonceurs des barrières , des barreaux et chaines qui étaient bien huilés et entretenus par le colonisateur pour une soi disant initiation au modernisme blanc sans laquelle la Belgique qui vivait aux dépens de ses colonies seraient condamnée économiquement de mort subite.
RDC:Grenier Belge Inépuisable-Congélation cervicale
Ce grenier , la RDC qui était et demure encore, un foutoir et réserve des grandes puissances se devait d'être maintenue dans dans l'esclavage et la soumission par des moyens abrutissement et de verrouillage des portes qui donnaient sur l'apprentissage des métiers, métaux, des valeurs des matières bref la pénombre coloniale dans laquelle le colonisateur maintenait nos grans et parents se devait de perdurer au delà` de l'an 1960 afin d'engraisser la Belgique et d’appauvrir la colonie dont Léopold II avait fait et réduit à l'état d'arriéré voir., de primitif et par conséquent, non encore mature pour se prendre en charge...
Enfin, en conclusion, toute congolais et congolaise qui se démarquait, qui sortait du lot, qui émergeait tout prétentieux qui osait faire montre d'ambitions démesurées pour des grandes études constituait une menace contre les chances d'une survie colonialiste à continuer d'administrer la colonie ou les colonies.
Ainsi donc, il y avait toujours une autre forme d'approche des intellectuels, jadis aspirant aux études, candidats à l'école officiellement reconnue,aux universités belges, ben avant Lovanium etc...eu égard aux niveau et aux barrière humanitaires.
Le congolais assoiffé d’apprentissage, se devait de s'auto former, de recourir aux livres, de s’informer, le tout malheureusement, avec beaucoup de difficultés à accéder aux matériels didactiques et bibliographique tenus à distance respectable en rapport avec des quotas secrets du colonisateur qui redoutait un e véritable course des congolais qui brûlaient de soif d'apprendre afin de se prendre intellectuellement en charge pour l'administration future du pays dont ils avaient perdu le gouvernail....
Garage rédactionnel...
Kaisa Ilunga À ce propos, cette palme ne revient pas du tout au mobutisme mais plutôt Patrice Em Lumumbala si je ne m'abuse quelque soi le développement de l'histoire, Kasa vubu exigera la présence de celui aux négociations en Belgique alors qu'il se trouvait derrière des barreaux m'enfin tout avait trait à l'indépendance à venir, à réaliser...si je ne m'abuse...
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