DIEUDO RÉUSSIRA-T-IL ? Sa démarche n'aurait-elle pas comme objectif de jeter la FRANCE pieds et mains ligotés derrière les barreaux de la CPI, ce Purgatoire AFROS?
Les juges de la Cour européenne des droits de l'Homme
doivent dire si cette condamnation à 10.000 euros
d'amende pour des "injures" à caractère raciste a porté
atteinte à la liberté d'expression de Dieudonné M'Bala
M'Bala.
doivent dire si cette condamnation à 10.000 euros
d'amende pour des "injures" à caractère raciste a porté
atteinte à la liberté d'expression de Dieudonné M'Bala
M'Bala.
Le polémiste avait été condamné pour son spectacle du 26
décembre 2008 au Zénith de Paris. Ce soir-là, il avait convié
sur scène le négationniste Robert Faurisson, l'avait fait
applaudir par le public et lui avait fait remettre un "prix de
l'infréquentabilité" par un comparse déguisé en déporté
juif. Devant les tribunaux, Dieudonné s'était défendu
en expliquant que "c'était très drôle" et que les
spectateurs avaient ri. Mais la justice n'avait pas
adhéré à cette analyse. L'intéressé "a très largement excédé
les limites admises du droit à l'humour", avait ainsi souligné
le tribunal de grande instance de Paris en octobre 2009.
"Le droit à l'humour connaît des limites, et spécialement
le respect de la dignité de la personne humaine", avait
renchéri la cour d'appel, en confirmant la peine en mars 2011.
décembre 2008 au Zénith de Paris. Ce soir-là, il avait convié
sur scène le négationniste Robert Faurisson, l'avait fait
applaudir par le public et lui avait fait remettre un "prix de
l'infréquentabilité" par un comparse déguisé en déporté
juif. Devant les tribunaux, Dieudonné s'était défendu
en expliquant que "c'était très drôle" et que les
spectateurs avaient ri. Mais la justice n'avait pas
adhéré à cette analyse. L'intéressé "a très largement excédé
les limites admises du droit à l'humour", avait ainsi souligné
le tribunal de grande instance de Paris en octobre 2009.
"Le droit à l'humour connaît des limites, et spécialement
le respect de la dignité de la personne humaine", avait
renchéri la cour d'appel, en confirmant la peine en mars 2011.
En saisissant la CEDH, Dieudonné conteste la base légale
de la procédure à son encontre: il affirme avoir été
condamné pour une "mise en scène", ce que ne prévoit pas
explicitement la loi de 1881 sur la liberté de la presse, en
vertu de laquelle il a été poursuivi. Surtout, le polémiste soutient
que sa condamnation a porté atteinte à sa liberté d'expression.
de la procédure à son encontre: il affirme avoir été
condamné pour une "mise en scène", ce que ne prévoit pas
vertu de laquelle il a été poursuivi. Surtout, le polémiste soutient
que sa condamnation a porté atteinte à sa liberté d'expression.
Dans les mois à venir, la CEDH aura d'autres occasions de
se pencher sur le cas Dieudonné: le polémiste a déposé des
requêtes - toujours pendantes à Strasbourg - contre l'interdiction
par les autorités de trois de ses spectacles en janvier 2014, à Nantes
Orléans et Tours.
se pencher sur le cas Dieudonné: le polémiste a déposé des
requêtes - toujours pendantes à Strasbourg - contre l'interdiction
par les autorités de trois de ses spectacles en janvier 2014, à Nantes
Orléans et Tours.
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