-Qui a peur d'une guerre larvée, une guerre bidon?
Fausse stratégie d’intimidation car , tout au long de son mandat, jamais la RDC n'a connu un temps de paix prolongé, et quand bien même il y aurait eu un semblant d'accalmie, encore que Béni n'a reçu aucune bénédiction du gouvernement en place, à même de l'éloigner d'un long martyr. Béni saigne, Béni est transformé en abattoir, réduit en mouroir. Les attaques répétées n'ont pas désarmé la population qui est restée et campe sur sa terre. Plus d'un observateur est convaincu qu'il y a dans cette démarche guerrière, l'intention incontestée de vouloir à tout prix délogé les habitants de cette contrée au sol extrêmement riche. Décembre approche inéluctablement, le 19 Décembre est la date butoir qui va à coup sûre relancé le processus de fin de mandat.
-Éviter la Guerre en maintenant Kabila au pouvoir?
RDC Dialogue-Monologue
Très fragile accord avec des acteurs qui ne représentent pas l'unanimité de toute l'opposition. Le mot juste est :"Forcing", forcing politique suffisamment dangereux car des chaises vides des poids lourds de l'oppositions n'ont pas eu d'occupants de tous ordres et couleurs politiques; Il y a un fait à sinaler,
par
à noter aussi que les conclusions issus du monologue à sens unique n'empêcheront pas du tout des soulèvements qui mettront à mal tout espoir de revenir à la table de négociation pour un quelconque compromis.
L'opposition qui a du reste adopter la politique de chaises vides ne cédera pas en aucune fois aux appels à l'arbre à monologue aussi longtemps que la majorité pro Kabila aura dit la messe du monologue.
Se basant sur les exemples des Forcing Burundais, Congolais de Brazzaville et autres tentatives Rwandais, Kabila et sa majorité espèrent venir à bout des contestations. Des stratagèmes connus sont mis en branle depuis les dernières manifestations et démonstrations: Répressions musclées contre la rue, tires à balles réelles sur des manifestants désarmés, arrestations arbitraires pour mâter l'opposition, rien de tout cela n'aura de chance à donner au gouvernement en fin de mandat une nouvelle chance anti constitutionnelle.
Du dialogue donc au monologue jusqu'au résultat bien mitigé d'une sorte de volte face, de roublardise conspirée par Edem Kodjo, soit disant médiateur dont se méfieront les participants de l'opposition qui réclameront le départ pour de raison de manque de crédibilité. Au départ, quelques bouffées de fumées de soupçons sur Monsieur "double face" ou celui qui bénéficiera du sobriquet de "Caméléon"; en effet Kamereh qualifie de double se trouve parmi les signataires de l'actuelle prolongation-probable nouvelle prolongation-élection éventuelle ou tout simplement jetée aux calandres grecs!
par
à noter aussi que les conclusions issus du monologue à sens unique n'empêcheront pas du tout des soulèvements qui mettront à mal tout espoir de revenir à la table de négociation pour un quelconque compromis.
L'opposition qui a du reste adopter la politique de chaises vides ne cédera pas en aucune fois aux appels à l'arbre à monologue aussi longtemps que la majorité pro Kabila aura dit la messe du monologue.
Se basant sur les exemples des Forcing Burundais, Congolais de Brazzaville et autres tentatives Rwandais, Kabila et sa majorité espèrent venir à bout des contestations. Des stratagèmes connus sont mis en branle depuis les dernières manifestations et démonstrations: Répressions musclées contre la rue, tires à balles réelles sur des manifestants désarmés, arrestations arbitraires pour mâter l'opposition, rien de tout cela n'aura de chance à donner au gouvernement en fin de mandat une nouvelle chance anti constitutionnelle.
Du dialogue donc au monologue jusqu'au résultat bien mitigé d'une sorte de volte face, de roublardise conspirée par Edem Kodjo, soit disant médiateur dont se méfieront les participants de l'opposition qui réclameront le départ pour de raison de manque de crédibilité. Au départ, quelques bouffées de fumées de soupçons sur Monsieur "double face" ou celui qui bénéficiera du sobriquet de "Caméléon"; en effet Kamereh qualifie de double se trouve parmi les signataires de l'actuelle prolongation-probable nouvelle prolongation-élection éventuelle ou tout simplement jetée aux calandres grecs!
Avec les actuels soubresauts, l'entêtement à céder le pouvoir selon la constitution, le gouvernement Kabila qui ne cherche ni ne se soucie de préparer sa sortie, s'enferme à double tour, signe sa disponibilité à croiser les fers, à jouer au bras de fer. La prolongation du forcing sera à coup sûre,l'un des plus sombres mandat d'un gouvernement devenue impopulaire et anti-constitutionnel, en agonie et bien entendu aux abois.
Une pilule bien amère d'une transition anticonstitutionnelle difficile à avaler pendant deux ans d'arrière goût très amer d'un gouvernement vomi qui veut contre veut à tout prix contre vents et marrées, se maintenir aux commandes d'une République en déliquescence. Luanda conspire un scénario d'attrape nigaud pour endormir. Les congolaise se laisseront-ils berner par des stratagèmes malhonnêtes?
-Combien de temps reste-t-il à Kabila pour être inévitablement chassé du fauteuil inconfortable?
Encore au garage rédactionnel
RDC: Continuité de l'État pas de transition= Dialogue Bidon?
On connaît le débat sur la transition et celui, très récent, sur le régime spécial
énoncé par le Rassemblement. Lambert Mende tranche. Après le 19 décembre
2016, "nous n'appelons pas cela transition. La constitution parle de continuité
de l'État".
Le porte parole du gouvernement était ce mercredi, l'invité de l'émission
Entretien sur France 24. Il a évoqué la constitution pour rappeler que les
résolutions du dialogue visent à trouver une solution sur la gestion de la
période entre la fin du mandat du chef de l'État et l'élection de son suc
cesseur.
"Un accord est imminent, nous pouvons même l'annoncer. Il devrait
être signer dans les jours ou les heures qui viennent", a rassuré le
ministre de la communication et des médias. Tout en refusant de
se prononcer sur une quelconque date de la future présidentielle.
Le président respectera la constitution, il n'a pas à se prononcer.
Lambert Mende rejette de nouveau le procès d'intention fait à
Joseph Kabila.
"les sanctions américaines [contre deux généraux de l'armée
congolaise] sont inacceptables". Quand à la France [qui estime
que la RDC est au bord de la guerre civile],"il faut éviter de
mettre de l'huile sur le feu, de promouvoir les postures
extrémistes avec des tels discours".
À eux, tous, y compris, la Belgique qui s'est vue appliquée
"le principe de réciprocité" sur la limitation de visas, Lambert
a fait savoir que la RDC récusait toute interférence extérieure.
"Nous sommes le produit d'une expérience douloureuse. Nous
sommes le pays de Patrice Lumumba... Nous conseillons à nos
amis de nous donner plutôt de conseils, d'éviter des injonctions,
d'éviter des interférences. Parce que nous avons un passé suf
fisamment douloureux et nous ne voulons pas y revenir".
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