Montag, 4. April 2016

Bresil: Entre la prison et la présidence plus qu'un pas pour le couple Dilama-Lula "VISIODIO" du neuf...

l'ex chef de l'état Lula avec sa nomination donc, sa rentrée au gouvernement comme l'équivalent de 1er ministre se trouve sur une balance pas encore en équilibre sur les chances d'un feu vert. À titre de rappel, cette nomination a buté contre le refus  ou blocage d'un juge. elle devrait une fois de plus être étudiée par la justice. Lula est justement cet arbre, ce grand arbre tombé depuis... qui cachait la forêt et qui risque d’entraîner dans cette chute, qui a disons-le provoqué cette vague d'investigations  et de ramassage d'acteurs soupçonnés d'avoir des mains sales; si jamais, cette nomination n'était point acceptée, Lula sera donc justiciable et c'est à partir de cet instant  que l’effet d'arrestations successives
à la chaine. Lesquelles arrestations si elles venaient à voir le jour n'épargneront pas du tout la tête du train gouvernementale qu'occupe Dilma Rousseff  qui risque d'être balayée par ce furieux ouragan.
Pour l'heure, les deux condamnés qui sont en même temps des compagnons de longues dates et qui risquent de connaitre  le même sort, sont en mission de séduction, une mission de récupération, d'une opposition déterminée qui risque de ne pas céder aux avances du couple-complice...Lula qui n'a pour l'instant que cette voie de sortie de secours et qui est visé par deux mandats judiciaires ne croise pas les bras. Il doit activement participé à la mission de sauvetage en consultant et les députés et l'opposition, lesquels en acceptant de sauver la tête de l'actuel gouvernement passera désormais pour complice et tout ce qui s'en suivra de qualificatifs...rendezvous est donc pris pour la mi-avril...
Pour la présidence et derrière des barreaux!Le couple Dilma lula déterminés pour :               "le meilleur et le pire!"Deux tiers des voix des sénateurs (54 sur 81) seraient requises pour la destituer immédiatement, faute de quoi elle réassumerait immédiatement ses fonctions. Le vote des députés est intervenu dans le contexte politique explosif de la nomination controversée au gouvernement de l'ex-président Luiz Inacio Lula da Silva, pour voler au secours de son héritière politique en grande difficulté.il y a tremblement de terre sous les pieds politiques d'une présidente dont le fauteuil, pour une deuxième fois consécutive, tangue des plus belles. Dilma venait de l'échapper bel quand, de justesse,jetons un coup d’œil au rétroviseur de la bouillonnante actualité politique brésilienne dans une atmosphère de mauvaise conjoncture
depuis que Dilma Rousseff, membre du même parti que Luiz Inacio Lula da Silva a succédé à celui ci à la magistrature suprême du Brésil.
En effet une première fois, cette procédure de destitution était provoquée en décembre par l'opposition. C'est le Tribunal Supérieur Fédéral qui y mettra fin.
Rebondissement donc de la procédure de destitution de la présidente Brésilienne, cette fois ci sous l'accusation, à vérifier ou mieux encore à soumettre à l'assemblée plénière du congrès des députés pour un vote.Si jamais à l'actuelle étape la balance se penchait sous le poids de deux tiers soit, 342 sur les 5134 députés, l'accusation aura des chances d'être prononcée devant le Senat sinon, une fois de plus, celle ci serait non recevable. à noter que le Tribunal supérieur Fédéral vient de fixer des règles à la procédure de destitution.Dans ce nouveau bras de fer entre l'opposition et le gouvernement, par juges interposés, on soupçonne la présidente de vouloir camoufler les lourdes accusations qui pèsent sur l'ex président lesquelles , si jamais elles venaient à être confirmée, elles risquent d'avoir des effets d'éclaboussements dans plusieurs sphères, elles feraient des ravages dans les rangs du gouvernement en commençant par la No 1 pour balayer des hommes d'affaires et chefs d'entreprise. Comme nous pouvons le constater ce grand filet aurait la chance de pécher des gros poissons dans les eaux troubles d'une magouille généralisée de corruption et de dilapidation de l'argent des contribuables. En attendant le rapport sur les accusations émanant d'une commission forte de 65 députés pour la redaction du dit rapport qui confirmerait  ou non, d'éventuelles poursuites judiciaires, Dilma Rousseff encourerait un arrêt d'exercice de ses fonctions pendant 6 mois.
Accusée par l'opposition de maquillage des comptes publics en 2014, l'année de sa réélection, et début 2015.

                                                                                                     
Brésil : l'ex-président Lula rattrapé par la justice dans le scandale de corruption Petrobras
                                                              
                                                        
Ce rapport sera ensuite soumis à l'Assemblée plénière du Congrès des députés où un vote des deux tiers (342 sur 513 députés) serait nécessaire pour prononcer la mise en accusation de la présidente devant le Sénat. Dans le cas contraire, la procédure serait enterrée.
Les parlementaires ont élu une Commission spéciale de 65 députés, qui sera chargée de rédiger un rapport préconisant ou non la poursuite de la procédure contre la présidente, 
En cas de mise en accusation, Dilma Rousseff serait écartée provisoirement de ses fonctions pendant 180 jours au maximum.Un juge de Brasilia a suspendu provisoirement la prise de fonction de Lula, intervenue plus tôt dans la journée, 
La présidente a peut être bien utilisé ce stratagème de nomination et libération obligatoire pour éviter ou mieux encore lui éviter la prison et toutes sortes d'interrogatoire qui risqueraient de remonter  jusqu'à elle...
Pour le faire échapper à un placement en détention dans le cadre de l'enquête sur les détournements de fonds au sein du géant étatique pétrolier Petrobras.
                                                                                      
Brésil enregistrement embarrassant pour Dilma


                                                               
Lula est soupçonné de "corruption" et "blanchiment" par le juge en charge de ce dossier.                                            

Sa nomination comme chef de cabinet de Dilma Rousseff lui confère un statut privilégié, puisqu'il ne peut désormais plus répondre pénalement de ses actes que devant le Tribunal suprême fédéral, chargé du volet politique du dossier.
Les députés brésiliens ont donné jeudi à Brasilia le coup d'envoi de la procédure destitution de la présidente de gauche Dilma Rousseff, qui tangue au milieu d'une tempête politique majeure.                             
Il se fait que la présidente se retrouve coincée dos contre le mur, Dilma joue une carte de survie, une et une seule qui est loin de compléter un casse tête d'un géant puzzle qui remballe et arrache toutes les cartes autour d'elle, elle tangue car même le vice président, qui est sensé assuré l'interim de celle ci s'en éloigne comme pour éviter la contagion de'une impopularité qui l'éclabousserait...
Avec ce vice présent, quelques ministres qui démissionnent  d'une coalition qui représentait malgrès une sorte de béton à même de soutenir la présidente et son protégé, de Lula. à noter aussi, que Dilma ne pouvait pas sacrifier l'ex président avec lequel elle a milité voir , travailler et peut être même avec lequel elle couve des "œufs"  et secrets des pots de vins à la base de l'arrestation de son complice des temps forts et temps dures...
Que risque t-elle...plutôt, que risquent-ils, elle et lui, y compris le parti qui a tout essayé pour éviter ce jonglage sur un fil, très mince, prête à rompre?
Dilma aura du mal à renverser la vapeur du chaud et froid qui souffle contre elle, il lui reste très peu d'arguments, à moins de poursuivre les consultations et les pourparlers avec l'opposition. Chose difficile mais pas du tout impossible car, dans les nouvelles négociations de survie politique, son charme et sa séduction ne réussiront pas à regagner aussi vite la confiance de l'opposition. 
Il lui faudrait offrir des postes ministériels au point de se retrouver dans un gouvernement qui risque de n'avoir aucune autorité ni véritable orientation politique.
L'opposition, du moins les ministres de l'opposition issus de la coalition ont fait le vide autour de Dilma avec une cascade de démissions. Celá dit,  avec les nouvelles démissions c'est un gouvernement sans tête ni coup, chevillé au reste du corps...une sorte de monstre déséquilibré et pas du tout apte à diriger le Brésil qui traverse une des périodes de vache maigre, de mauvaise conjoncture de son histoire qui ne tolère pas du tout d'éventuels ou présumés : "Corrompus" Une affaire qui risque d’emporter bien des têtes au gouvernement Dilma. Elle, l'affaire, tourne véritablement au vinaigre...
Que dire de la nomination de l'ex président? 
Si non qu'elle a des fortes chances d’être rejetée par la justice.
La nomination risque de ne pas recevoir l'accord de la justice, son but immuniser l'ex président qui a peut être bien trempé dans l'affaire Petrobras. Une affaire qui risque de ressembler à une chute des cartes superposées qui s'envolerait au moindre petit coup de vent soufflé...donc très fragile voila donc un siège qui tangue fortement et risque de basculer autrement dit, Dilma risque de se retrouver non seulement au chomage mais surtout derrière des barreaux bien solides d'une prison  si suffisamment de preuves émergent, derrières des barreaux bien solides...au moins, elle n'y sera pas toute seule détenue, avec elle, pour lui tenir compagnie, suffisamment de chefs d'entreprises corrompus et corrupteurs...
Affaire à suivre...

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