RDC: JOURNÉE TOUT À FAIT MORTE

BRAS DE FER

Ce 16 février 2016 qui résonne tel le début d'une empoignade, d'un bras de fer entre deux camps. Les pros qui se doivent de choisir le camp de l'équipe dont ils croient qu'elle est gagnante et pas changeable...le tout sans en être sûre du lendemain de l'après 

"Deuil de la victoire" des Léopards,

 ici, une des dernières fautes qu'il ne fallait pas commettre non, tout, sauf de n'avoir pas ouvert des stades pour accueillir les vainqueurs de l'Afrique, non pour n'avoir pas associe à la fête, des supporters comblés de joie. Autrement dit, Le frein à l'explosion de joie des populations reste une lourde dette, une facture à payer car, pour tout congolais, cette victoire était une démonstration de force, une raison pour redorer le blason ternie à travers le monde. Le summum de cette joie avait atteint son niveau le plus enivrant avec la victoire des Léopards sur le Rwanda. 

Enfin, il y a  l'autre camp, celui du changement, de l’alternance sans effusion de sang, à moins que à chaque tentative de sortie dans les rues, les éléments armés utilisent cette première journée morte pour se familiariser avec la nouvelle acquisition de répression des démonstrations. En effet des véhicules anti-démonstrations et d'autres paniers à salades connaîtrons prochainement une activité intense avant que les manifestants mettent au point des stratégies de contre attaque et de destructions pour venir à bout de ces engins sans grande utilité. Quoi d'autres...

Journée morte sans Démonstration

si ce n'est toute fois, qu'une journée morte est une journée silencieuse, une journée de protestation, dans le silence, en restant à domicile, elle est faite pour bouder, une façon de marquer son désaccord. À cl'occasion, tout trafique est inexistant. Enfin, celle ci aura lieu sur toute l'étendue de la République et a des fortes chances de connaître une adhésion très forte par conséquent, il faut redouter des sorties incontrôlées des manifestants qui déboucheraient sur des faces à faces avec des éléments en uniformes, apeurés mais surtout nerveux. C'est justement à ce niveau qu'il faille redouter des affrontements. 

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