TABU LEY SE RACONTE EN MUSIQUE
ROCHEREAU Tabu Ley
Mon cher Gabi c'est tout simplement jouissif de nous inviter à marquer le pas de danse sur du Ley de Tabu en interprétation d'Olomide par Koffi, C'est rétro-chic l'invocation des frémissants hit-parades qui ont rythmé, bercé des générations...Anthologie, historique, plus qu'une caresse. Des chansons-romans d'amour et d'approche de la vie, voisine de la mort...des sources intarissables de leçons de vie...chansons cultes faites pour remuer des cœurs sensibles et cœurs malades d'amertume, cœurs sous super-con-fusion d'un zeste d'amour amer...Cœurs à guérir. Tabu ley, poète né, chantre-troubadour et peintre des femmes africaines sculptées dans l'ébène, belles déesses élastiques, bien vivante beauté sensible , envoûtant des coeurs casa-nova tels celui, turbot, de Ley, grand nomade des amours turbulentes, ce géniteurs en puissance était un compositeurs et chef d'orchestre de grande renommée intercontinentale. Des chansons poèmes qui se déguste goulûment, à profusion avec délice et sans modération, à gogo...Rochereau Mwana ya Tabu-ley Musique et Romans de polygamie plurielles, Cœur gros, battant chamade pour plusieurs femmes qu'il va immortaliser dans ces chansons romans à turbulences....
Autant de chansons que d'enfants, ils les connaissaient tous jusqu'au cinquantième...jusqu’au centième...Le Seigneur...un homme à femmes, au cœur turbot...une vie qui commence par une clé de Do et qui se poursuit RE interminablement en musique, MI en chantant sans fin...car, Rochereau, dort et jamais ne mourra tellement il a confectionné des titres qui racontent sa vie en une épopée...Tabu Ley, un poids lourd de l’après Wendo? De l'avant Lwambo? De la même génération? Gabriel Shabani c'est délicieux, remuant, vibrant que d'écouter Tabu à travers Olomide fidèle interprète de l'épopée des oraison funèbres des Nkashama Nkoy au firmament des martyrs dont les routes se croiseraient face à face avec Lumumba...Mort, passage obligé de tous,à condition d'attendre son tour afin de rendre l'âme...mais jamais plutôt courir avant ...ou après la mort et pourtant...tout le monde y passera...sans exception...aucune
Kaisa ilunga
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