Situation gravissime dans le proche Orient. Cohabitation rendue impossible par l´américain. Comment est-ce possible que le Président Américain, l´Afro Américain, Barack Obama tourne Casaque, 380 degré est l´angle d´éloignement de l´option de Paix que Barack vient d´accomplir dans un balayage d´une logique de neutralité qui était l´unique mur empêchant un massacre entre les deux ennemis jurés, Israël et Palestine.
Qu'est qui fait que la seule soupape, le fusible de sécurité qu'il a représenté pendant ces 4 année, juste au lendemain de la confirmation de son contrat de bail à la maison blanche, Obama troc ces beaux habits d´"arbitre neutre" dans le conflit Israélo palestinien?
C´est un véritable choc qui s´opère avec une visite de charme, une visite de réconciliation conditionnée par une trahison;
-Oui, la trahison de la paix, voilà ce qui se dégage des déclarations irréfléchies d´un Barack Obama méconnaissable.
Il dira, sans réfléchir sur des conséquences, la liberté abandonnée à Israël, va t-en guerre, d´appuyer sur la gâchette sans devoir se référer à qui que ce soit et ce, à bout portant en direction de la Palestine?
Mais qu'est-ce qui a motivé Barack Obama à tourner la veste?
Quelle mouche vient de piquer l´Afro Américain Barack qui l´avait planté, abandonné, lors de la visite de ce dernier à Washington, décliné de continuer de déjeuner avec le 1er Israélien, Netanyahou qu'il traitait de menteur maladif?
4 ans durant, les deux personnes n´ont point réussis à émettre sur la même longueur d´onde en ce qui concerne la question palestinienne. Entre les deux personnes, les ponts étaient totalement coupés et même que Netanyahou a, pendant la campagne de l´élection américaine, souhaité que Obama s´en aille au profit de Mitt Romney.
Fausse analyse, L´Amérique n´était pas prête de divorcer d´avec l´afro-Américain avant le deuxième mandat de la réalisation de certains de ces promesses.
Obama est méconnaissable sur ce dossier pourtant encore explosif avec l'entêtement d´Israël qui ne cesse d´élargir, de grignoter, de plus en plus de terre occupant toujours et encore les territoires. C´est un changement totale, un abandon d´une neutralité dissuasive à recourir aux missiles. C´est une faute fatale, une fuite de responsabilités vis à vis de ces propres convictions contenues dans son discours du Caire où il disait être de cœur avec le monde arabe.
Méconnaissable l´américain, 4 années après, il aura appris par cœur des esquives politiques face à un choix entre "État-Ami" comme base militaire en cas de conflit ou de tremplin d´assaut contre L'Iran et du coup, le reste devient dérisoire!
Prévenir face au danger nucléaire que de guérir une guerre de cohabitation, de voisinage qui est devenue une guerre d´usure, Obama vient de faire un choix entre deux voisins ennemis au modèle de deux Corées qui se trouvent en brouille.
Sur place entre Palestinien et Israélien, ce 21 03 2013, la présence de Barack Obama, loin d´apaiser les esprits, cette présente À provoqué coté palestinien un une déception, un choc alors que tout indiqué une détermination de l´Amérique, une neutralité à freiner la colonisation juive en Cisjordanie.
N´empêche que le discours de la division n´a réussi qu´à creuser l´éloignement et de l´Amérique de l´option d´une paix basée sur l´arrêt de la colonisation et d´une sorte de cautionnement d´une position dure, Israélienne qui obligerait, comme toujours à lancer un laceau au coup de Mahmoud Abbas, e tirer de force vers une table de négociations sur laquelle se trouve des textes fin prêts qu´il signerait obligatoirement yeux bandés.
Alors que les phares étaient au rouge, voilà que ces deux discours en mono pour un objectif désormais compromis viennent éloigner tout espoirs entre entre Jérusalem et Ramallah.
Comme quoi, les mandats se succèdent pour l´Américain et la position vis à vis des conflits change selon les intérêts en jeux, une politique de plus en plus caméléon.
À travers ces rapprochements des plus spectaculaires, il va falloir chercher quelques raisons obscures, cachées afin de comprendre certaines choses incompréhensibles à partir du moment où l´équation a plusieurs inconnus.
Pourquoi ce rapprochement stratégique entre les deux personnalités que tout éloigne, Barack et Netanyahou?
Un rapprochement est loin d'être une mauvaise chose mais alors quand celui s´effectue aux dépens de la paix, il y a fuite de crédibilité pour celui là même qui jouait le respectable rôle de Monsieur Bons offices, la perte de la fermeté, la neutralité, l´impartialité et tout ce qui s´en suit?
À partir de l'instant ou tout tombe à l´eau, l´on est en droit de s´interroger sur la véracité et le sérieux d´une personne ayant autorité d´état.
Il y a entre les deux futurs états, l'Iran qui s´interpose et qui est pour Israël une menace nucléaire à prendre au sérieux. Israël dit vouloir passer à l´attaque afin de démolir les installations nucléaires de l'Iran qui a, à travers le tonitruant Ahmadinejad qui a toujours juré vouloir effacer Israël de la carte du monde, autrement dit du globe.
du coup, sueur froide car l'éventuel bombardement d´une centrale nucléaire mettrait en danger tout une région et c´est justement là que les choses se corsent dans le sens de l´embrasement totale. S´agit-il là d´une ignorance criminelle ou tout simplement d´une bêtise du No 1 Israélien qui se croit tout permis pour « Tschernobiliser » tout le moyen Orient?
C´est là que l´Afro Américain d´Obama va réagir alors que, si il était resté de marbre, le 1er Israélien n´allait point se permettre de jour avec la gâchette. Avant qu'il ne devienne le 1er Président noir des États Unis, Obama vouait une conviction qui voulait que nous sommes tous responsable de ce qui arrive aux autres et que pour en connaître les effets, il faille se mettre à la place des victimes un conseil qu'il a hérité de sa propre mère.
Enfin, loin des sentiments maternels, il est question ici de l´annonce d´une guerre et non de n´importe quelle guerre?
Israël que qui est un état nucléaire tout comme l´Amérique et peut être bien l'Iran, s´arroge le droit de jouer aux contrôleur nucléaire tout comme son protégé l´Amérique qui est aussi détenteur de l´arme à double tranchant.
C´est en présence du président Américain que Monsieur Netanyahou a brandit la menace et exhibé la ligne rouge que dépasserait l'Iran laquelle ligne serait tout simplement dépassée. Israel en a le coeur net, l´Iran possède le nucléaire, d´après la source, Mossad...et ce, à des fins militaires, pour une utilisation armée.
"Pourquoi alors attendre de lui casser la figure?" Netanyahou, empresser d´en découdre avec Ahmadinejad
Kaisa Ilunga
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