C´est désormais un 1er Ministre sous pression, qui dit "oui" et pense "non"! dépourvu de temps de riposte qui résistera contre tous pour enfin céder et prendre un virage périlleux et ce en marche-arrière sur le "Non"; Au milieu des feux croisés, il cède et abandonne la position dure pour se mettre en contradiction avec les promesses de l'électorat. Toutes les promesses faites aux Grecs tombent en bloc, c'était donc utopique de promettre aux pauvres et pensionnés l'amane, l'assistance financière voir l'amélioration des conditions de vie médiocres. à peine six mois aux commandes d'une Grèce prête à sombrer, les jeunes politiciens voulaient renversé la vapeur mais hélas, ils vont buté contre une résistance farouche d'autres membres de l'euro, aussi mais élèves que la Grèce, détrompés par uen perception tout à fait fausse du respect des pratiques suicidaires d'une gestion brutale de la monnaie européenne difficile à maîtriser.
Ce fût donc un beau rêve que l'équipe Tsipras, Vourafakis voulait à tout prix rendre possible, rendre la vie dure moins payante, plus abordable pour ceux qui ont travaillé et qui ne sont les responsables de la faillite que connaît ce pays qui a créer des plus grandes fortunes telles celles des:"Onasis, Stávos Niarkos et autres qui n'ont pas payés tous les leurs impôts et qui se sont énormément enrichis. La nouvelle équipe des jeunes voulait cassé le mythe de forte économie pour privilégier l'aide sociale aux moins nantis, la vie, la survie. Renverser la vapeur et le mirage des pays riches qui veulent à tout prix restés riches sans avoir des citoyens si pas aussi riches mais pas si pauvres.
L'Allemagne qui est pratiquement la seule super riche du continent européen apparaît dans ce dilemme comme ayant comme priorité la force monétaire qui bouscule au second plan le sociale. La démarche des jeunes technocrates a donc été étouffé dans dans l'oeuf du système d'enrichissement aveugle imposé par l'homme d'Helmut Kohl et bien entendu la "fille", surnom de la chancelière vis à vis de l'ancien chancelier qui a dégringolé dans l'anonymat après le scandale des caisses noires, comptes de la CDU secrets dans des banques Suisse. Cette vieille garde avec son défenseur, Schäuble, ministre allemand de l'économie, s'accrochent aux anciennes structures qui avaient pourtant en leur temps brillamment échoué car eux même, soit le gouvernement Kohl était obligé de conserver hors des frontières allemandes., choses interdites par les lois en la matière. Des mesures dot ils n'ont pas été capables de respecter. La gestion des partis politiques, une autre paire des manches...
La Grèce, du moins dans un 1er temps, ne quittera pas l'Euro mais connaîtra des temps beaucoup plus dures que les précédents; L'amère pilules sera dure à avaler car ceux qui en font la mauvaise expérience de la survie, c'est la population grec et européenne. Le programme concocté à la qui va vite dans la capitale Belge est un des plus mauvais diagnostiques qui conditionne l'obtention par la Grèce de 86 milliards d'euros consentis par la banque centrale européenne et l´Union Économique. Il y a là assez de poudre pour faire exploser le fût et conduire à l'étranglement voir au suicide. Des mesures draconiennes qui viennent d'être voté malgré le Non grec désormais interprété comme une position, presqu'une intention exprimée sans effets, à présent balayé par un "Oui de circonstance" qui sauve rien qu'en apparence les meubles et ce pour une durée déterminée à savoir:" le maintien de la Grèce dans l'Euro-imposition" autrement dit, la Grèce a flanché et redevient soumise. Eu égard à la situation d'imbroglio, il faut redouter à présent, une hémorragie interne qui risque de faire des victimes dont une est déjà tombée, la série des démissions pour qui conque s'interpose et contredit les règles de l'euro. Combien de temps encore résistera-il contre les pressions croisées del'intérieur aussi bien de l'extérieur entendez par là, celles européennes? Tsipras ne serait-il pas la prochaine victime éjecter du fauteuil de 1er et de celui de trouble fête au sein de l'euro? Les hommes passent tandis que les institutions , lois ou méthodes sont faites par d'autres individus moins parfaits, appelés aussi, à leur tour, à s'éffacer avec des méthodes et pratiques révolus, non actualisées. Ainsi donc, toutes les pratiques qui sont à la base des échecs d'aujourd'oui, seront, tôt ou tard, caduques et dépassées. Elles sont donc destinées à l'abandon qaund, les hommes et femmes s'interposeront, poussés par la pauvreté montante...
20.07.2015
Kaisa Ilunga
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