Donnerstag, 1. Oktober 2015

Angela Merkel : Migrants Oui, mais pas tous!

MERKEL-Gardienne de l'euro-fort-Migration plus: Mère Teresa




Après sa déconfiture face à la jeunesse Grec dans l’affaire de l'Euro-fort sans sociale riche, après avoir essuyé des injures et être comparée à Hitler, après avoir donc ternie sa carte de visite inter-européenne, Angela Merkel revient en force avec un nouveau visage politique; En effet la chancelière a amorcé un virage sur les chapeaux de roues, devançant toutes les grosses têtes des partis qui se veulent sociaux démocrates et par conséquent accueillants. La chancelière qui était au plus bas de sa popularité européenne est remontée vertigineusement à la tête du hit parade de popularité, hissant avec elle la République Fédérale Allemande en tête de listes de tous les pays Européens comme la République et la chancelière la plus accueillante du monde, tenez vous bien, cette même chancelière dont la photo recevra la méchante moustache de Hitler sera désormais couverte d'un foulard de tête bleu-blanc et de sa grandeur, Nobel de la paix " Teresa" Mère Teresa ou mère Teresa" ! 

                                                                       Mère Teresa



La chancelière allemande a eu droit à des bains de foules des migrants qui ne demandaient que se blottir dans la poitrine de la gardienne de l'Euro-fort! Très grande pirouette politique donc pour l' intrépide jongleuse qui ne tarde, selon les caprices des élections, à tourner la vedette. Néanmoins, Angela Merkel dira:" l'Allemagne est capable d'en accueillir plus mais alors que l’Europe entière se partage les migrants que de se verrouiller! Cela étant, elle ajoutera que tous ne sont pas appelés à rester en Allemagne sauf, ceux qui rempliront les conditions requises pour la reconnaissance du statut de réfugié, d'asylant; quant aux autres, ceux là seront ramenés à la frontière allemande.  




Kaisa Ilunga
BLOGGOFORT



Grèce : quand Angela Merkel est comparée à Hitler

13/07/2015
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LE SCAN POLITIQUE/VIDÉO - Jean-Luc Mélenchon et Nicolas Dupont-Aignan n'ont pas hésité à évoquer l'Allemagne nazie pour fustiger la manière dont la chancelière allemande a conduit les négociations avec la Grèce.
© Fournis par Le Figaro Jean-Luc Mélenchon (g) et Nicolas Dupont-Aignan (d).
Certains avaient pointé la présence des néonazis d'Aube dorée dans la coalition d'Alexis Tsipras pour discréditer le premier ministre grec et ses arguments. Jean-Luc Mélenchon etNicolas Dupont-Aignan ont, eux, préféré voir dans l'attitude d'Angela Merkel une résurgence de l'Allemagne nazie.
Dimanche, le co-fondateur du Front de Gauche et le président de Debout la France ont tour à tour fustigé la manière dont la chancelière allemande a conduit les négociations avec la Grèce, n'hésitant pas à la comparer aux velléités expansionnistes du régime nazi.

«L'obstination d'un gouvernement allemand est en train de détruire l'Europe»

«L'Allemagne veut écraser la Grèce en lui faisant accepter sous la menace d'un Grexit un plan mortel de soumission totale! Le 4ème Reich!», s'est emporté le député de l'Essonne sur Twitter, jugeant ensuite l'euro comme «un instrument de domination pour les Allemands».
Quant à Jean-Luc Mélenchon, s'il a estimé que la situation n'avait «rien de comparable avec la seconde guerre mondiale», il s'est tout de même agacé: «On ne parle pas de la même idéologie mais c'est toujours le même esprit de système, la même arrogance, le même aveuglement qui fait qu'on en est là. Pour la troisième fois dans l'histoire, l'obstination d'un gouvernement allemand est en train de détruire l'Europe», a-t-il jugé sur BFMTV.

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